Comme le rapporte le site le Grand Québec, au XIXe siècle, sur le territoire de Montréal, on dénombrait 29 marchés ! Le marché Maisonneuve fut érigé dans le style de beaux-arts d’après les plans de l’architecte Marius Dufresne, à l’époque où la ville de Maisonneuve, administrée par son maire Alexandre Michaud, décide qu’elle est en mesure de maintenir un grand marché public qui assurerait une vaste quantité des produits. Le marché fut inauguré en septembre 1914.
Une avenue majestueuse se déploie face au Marché Maisonneuve
Un joyau patrimonial
Face au marché, une fontaine incorpore la statue La Fermière (1915), œuvre maîtresse du sculpteur québécois Alfred Laliberté, représentant une maraîchère du XVIIe siècle.
Une oeuvre monumentale au centre du marché
Patrimoine ou non, fermière ou non, rien ne restreint la nature dans ses obligations… quotidiennes.
S'il ne s'agissait que d'une observation !
Les beautés de Montréal 
Mon cher Pierre,
« De ce côté-ci de l’Amérique » a été une de mes sources préférées d’information, et je sens que « Beautés de Montréal » sera une de mes sources de plaisir visuel.
Je ne savais pas que le quartier Maisonneuve a été une ville ; je connais la Maison Dufresne, cependant, et avec l’immeuble du marché que tu as photographié et la place devant, cette ville possédait une certaine grandeur classique ; les projets actuels n’ont pas toujours cet équilibre.
Meilleurs vœux, pour ton nouveau blog.
Gilles
Bonjour Gilles
Merci de cette belle visite et de ces mots d’encouragement. Je me hasarde. Je voudrais bien faire connaître Montréal sous un angle autre que celui du tourisme. Et je n’ai pu résister à la tentation de marcher, de marcher, et de marcher au cœur de cet été qui s’annonce lentement mais sûrement. J’essaierai de paraître intelligent 🙂
Pierre R.
Est apparu sur mon blog un lien… Les beautés de Montréal.
Heureux de vous retrouver.
Et quel grand plaisir que de marcher!
J’aime bien la présentation très sobre qui fait ressortir davantage les photos.
Un beau printemps en perspective!
Gaëtan
Heureux de vous retrouver. Pour une marche, pour une poésie, pour une pensée brève ou furtive.
Pierre R.
La dernière photo. Je ne sais pas comment vous avez fait. Mais il y a un personnage dans la noirceur. Une statue?
La manif, mais mieux qu’à la télévision.
Bravo! et merci.
Gaétan,
Il s’agit de La Fermière d’Alfred Laliberté, réalisée en 1915.
Gaëtan
Comme l’indiquait très justement Gilles, il s’agit de la Fermière d’Alfred Laliberté. Je l’ai photographiée à contre-jour en jouant avec les rayons du soleil. Pendant que je m’installais, un visiteur est venu s’imposer sur le couvre-chef de la maraîchère. 🙂
Gilles
Merci
Pierre R.
Merci! à vous deux…
Sapristi! Je n’avais pas vu l’oiseau… 🙂
Pingback: Et si la beauté nous échappait parfois? « Les beautés de Montréal