En 2007, Isabelle Paré du quotidien Le Devoir écrivait : « … l’idée d’insuffler un peu de vie à la place Émilie-Gamelin émane aussi du groupe Dada Diffusion Art actuel, qui privilégie l’occupation des espaces publics par les artistes. La directrice de cet organisme, France Parenteau, qui se désolait de voir un si bel espace déserté, s’est mise en tête d’inoculer un sentiment d’appartenance chez les Montréalais qui traversent chaque jour cette vaste place, plus occupée par les coups de vent et les pigeons que par les citoyens. […] L’idée sera donc de créer sur le sol un échiquier géant, portant le sceau de Roadsworth, dont les pochoirs créatifs ont envahi l’an dernier la place faisant face au Centre des congrès de Montréal. L’œuvre sera assortie de pièces d’échecs géantes, qui inviteront, trois jours par semaine les promeneurs à s’arrêter pour tenter un échec et mat ».
Force est de constater, hélas!, que la remarque que formulait en 2007 Isabelle Paré à propos de la tenue générale de cette Place est toujours d’actualité : « La place Émilie-Gamelin, qui fut longtemps un parc de stationnement moche, a été réaménagée en parc à l’occasion des festivités du 350e anniversaire de Montréal et retapée à l’aide de dalles de pierre, de plans inclinés en gazon et de terrasses. Mais même les trois oeuvres de Melvin Charney qui y sont installées n’ont jamais réussi à y faire s’arrêter les Montréalais, de sorte que l’endroit est devenu le point de chute de plusieurs itinérants ».
« Avec les étudiants de l’UQAM, les usagers de la bibliothèque et les tours à bureaux autour, il y a ici un potentiel fameux pour y créer une vitrine des arts. Ça pourrait devenir un genre de Washington Square », déclarait France Parenteau du groupe Dada Diffusion Art actuel. Madame Parenteau se désolait, en 2007, auprès d’Isabelle Paré, du quotidien Le Devoir, de voir que les passants contournent la Place Émilie-Gamelin et ne se l’approprient pas. « On veut en faire une place vivante, une vitrine pour les arts ».
Bonjour Pierre,
Ici tu vas plaire à mon copain, Willy. C’est sa passion et il en a des histoires à raconter sur les échecs. Je vais lui envoyer l’adresse de ton site sur le champ.
Bonjour l’Enfoiré
Heureux de voir que l’ami Willy est un grand amateur d’échecs. Il serait heureux de s’approprier, avec des compatriotes Montréalais, les damiers du parc Émilie-Gamelin.
Pierre R.
Le vice du jeu passe-t-il par un échiquier chez vous ?.. 🙂
RV
Bonne question. Je vous rassure. Je ne suis pas un amateur d’échecs. Malheureusement. Je n’ai jamais eu la patience d’en apprendre les règles 😦
Pierre R.
Je vous apprendrai, car je suis qualifié pour jouer avec vous : en effet, je suis nul ! 🙂
bonjour,
je suis étudiant en dernière année à L’UdeM en architecture du paysage et je travail actuellement sur le parc Emilie Gamelin.
J’aimerais savoir si vous connaissez d’autres informations à propos du parc…documentation, articles, anecdotes, récits, histoire,…
cordialement
Quentin
Je vous suggère de consulter les archives de La Presse et du quotidien Le Devoir. Vous y trouverez une mine d’or. Si par contre vous ne trouverez ce qu’il faut, écrivez-moi et laissez-moi votre courriel. J’essaierai de vous aider davantage.
Pierre R.