Comme il est difficile parfois d’être original et créatif. Le syndrome de la page blanche devrait se traduire, dans mon cas, par le syndrome du capteur inactif. Je sens bien que l’inspiration fait cruellement défaut. Je sens bien que l’énergie et le dynamisme s’estompent sous les froids sibériens que nous connaissons. Je sens bien la fatigue tenailler mes pauvres jambes toutes transies de froid lors de mes promenades pédestres. Je tente le tout pour le tout. J’ai donné des couleurs à une saison qui les dissimule parfois, assez bien, sous son grand manteau blanc. Je vous les livre simplement, sans vous taire toute l’inquiétude que cet exercice suscite. Puisqu’il faut plonger …
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