En ce vendredi, je me fais plaisir. Je prie le lecteur d’être à nouveau indulgent. Cette chronique animalière porte une fois de plus sur ces petits oiseaux dont l’apparente fragilité n’explique en rien leur endurance au froid. Je suis fasciné par ces petits bipèdes ailés. De ceux-ci, je retire une leçon simple qu’une certaine précarité dans une vie peut se vaincre par une qualité unique : la ténacité. Et j’aime bien ce proverbe allemand qui dit qu’il vaut mieux un moineaux dans la main, qu’un pigeon sur le toit. 😉 Permettez-moi enfin de dédier cette chronique animalière à mon ami RV qui s’interroge avec lucidité sur son désir de poursuivre ou non sa chronique. Un peu de tristesse précède un retour, comme je l’espère, au bonheur momentanément égaré.
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