Montréal retrouve ses froids d'antan - moins trente sous zéro
Nous en avions presque perdu l’habitude. Des températures qui chutent jusqu’à moins trente sous zéro nous ramènent à de vieux souvenirs des grands froids qui s’abattaient sur le Québec. Vendredi, la question s’est posé : dois-je me mettre le nez dehors? Jusqu’où devrais-je porter mon zèle et ma passion pour la photographie? Et pour renouveler quotidiennement le propos de ce blogue? J’ai eu un doute. Un gros doute. J’ai affronté mes démons et j’ai décidé de ne rien changer de mes promenades quotidiennes. L’autre question qui m’a turlupiné est la suivante : comment montrer en photographie un froid sibérien de moins trente sous zéro? De retour à la maison, assez tôt, à vrai dire, j’ai passé en revue les 250 photos prises par grand froid, engelures comprises. Voici les résultats.
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
Circuler à vélo sous une telle température, est-ce par nécessité ou par témérité?
Tout semble déserté tant il fait froid. Qui oserait s'aventurer sous une température de moins trente?
Et le vent qui s'élève pour ajouter à la froidure des accents polaires
Bien emmitouflée, il y a des limites à supporter les picotements du froid 😉
Malgré un froid intense, force est de reconnaître la beauté du paysage
Faut-il se surprendre de ne voir personne sur cette grande patinoire naturelle?
Pour les uns, une sortie constitue un choix. Pour d'autres... une obligation contingente 😉
Les échanges ne sont nullement restreints par ce froid sibérien
Non, ce passant ne fumait pas 😉
Un café grand format aide à survivre... aux engelures 🙂
Croyez-le ou non... ce passant distribuait des noix à mes amis... les écureuils
... geste qu'apprécie mon jeune ami
La vie continue. La routine s'installe. Le froid ne fera que passer, se dit-on
Tout est dans la façon de se couvrir... et de se protéger contre le froid