En ce vendredi, je me fais plaisir. Je prie le lecteur d’être à nouveau indulgent. Cette chronique animalière porte une fois de plus sur ces petits oiseaux dont l’apparente fragilité n’explique en rien leur endurance au froid. Je suis fasciné par ces petits bipèdes ailés. De ceux-ci, je retire une leçon simple qu’une certaine précarité dans une vie peut se vaincre par une qualité unique : la ténacité. Et j’aime bien ce proverbe allemand qui dit qu’il vaut mieux un moineaux dans la main, qu’un pigeon sur le toit. 😉 Permettez-moi enfin de dédier cette chronique animalière à mon ami RV qui s’interroge avec lucidité sur son désir de poursuivre ou non sa chronique. Un peu de tristesse précède un retour, comme je l’espère, au bonheur momentanément égaré.
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
Amusant jeu de piste aux zoziaux ! Il y a quelques jours Christine me faisait remarquer que les oiseaux avaient déserté notre jardin, alors que d’habitude ils y trouvent de quoi se repaître. Mystère !…
Cher Pierre,
C’est un grand plaisir de voir ces petits moineaux sur leur branche. Ce sont de mignonnes boules de plumes.
Oui, j’ai vu la jolie mésange venant se nourrir de graines. Je les reconnais pour avoir les mêmes dans mon petit jardin.
Ce matin, j’ai eu la visite du rouge-gorge et c’est toujours une grande joie de regarder tous ces oiseaux évoluer autour et sur leur maisonnette remplie de graines. Les merles s’invitent aussi mais ils sont futés. Ils restent au sol et mangent les graines que les petits oiseaux font tomber.
C’est tout un spectacle et des petits bonheurs quotidiens.
Tout comme vous Pierre, je souhaite le retour de votre ami RV.
Vos photos sont très belles et me font admirer tant de détails jusqu’aux petites pattes qui s’accrochent aux branches.
Votre plaisir a été partagé… sourire.
Non mais quel goujat je suis ! Je réalise que cette chronique m’est dédiée maintenant !
Merci Pierre, je trouverai le moyen de poursuivre ! 🙂
RV
C’est une catastrophe si les oiseaux ont déserté votre jardin. Sortez l’artillerie gastronomique pour les faire revenir. En ce qui concerne la dédicace, il n’est que normal de lancer une bouée lorsque la marée risque d’inonder la maison d’un ami 😉
Denise
Je suis profondément heureux de constater que nous aimons observer ces petites bêtes toutes enjouées et pleines de vitalité. Je n’ai malheureusement pas ou peu de visites de ces oiseaux dans ma cour. J’en profite donc au cours de mes sorties quotidiennes pour les observer et les capturer… en images 😉
Pierre R.
Et dire qu’on se plaint alors que certains n’ont que des plumes sur le dos pour affronter l’hiver!
Lali
Ces petits bipèdes plumés… ont un grand courage duquel nous devrions parfois nous inspirer 😉 Je me compte parmi ceux-là ou celles-là.
Pierre R.
Mon Dieu je défile vos billets avec quelques jours de retard et, je l’ai déjà dit, je suis heureux de voir l’abondance et le bonheur des mots de Denise, qu’on dirait une jeune fille épanoui et fasciné et charmée par autant de merveilles.
Ceci dit, entre nous, elle n’est pas la seule a s’emerveiller…
J’avoue que je vous tiens pour un magicien Pierre.
Pierre,
Armando m’a dit qu’il vous avait laissé quelques commentaires ici et là, or je ne les vois pas. Se pourrait-il qu’ils aient atterri dans les pourriels comme ça arrivait aux miens il y a longtemps?
Armando
À vrai dire, mon cher ami, la magicienne des mots, c’est Denise. Elle est une dentellière qui manie les mots comme la dentellière manie les aiguilles et les broquelets. Merci.
Lali
Comment aurais-je pu échapper de si beaux commentaires? Ils sont tous publiés et j’en suis profondément honoré. 😉 Merci
Pierre R.
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