Je préviens le lecteur. Je dépasserai en nombre le quota de photos que je m’impose quotidiennement. La raison est simple : « je fais place aux banalités de la Grosse Pomme ». Le terme de « banalité » peut paraître choquant. À mes yeux, il peut vouloir dire également « simplicité ». Comment, touriste que j’étais, vivant un si court laps de temps dans New-York, je peux capter la vie de tous les jours de ces millions de personnes qui arpentent rues et avenues de cette mégapole? La chose est impossible. Je veux vous dire très candidement, qu’à l’occasion, j’ai cessé de regarder le ciel et je me suis attardé au sol… Tout là haut c’est du rêve. Tout ici-bas c’est une réalité brutale et sans compromissions. Ci-bas où on retrouve des gens ordinaires. Demain je reviendrai sur la visite des quartiers de New-York qui ont tant marqué notre voyage.
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