Au retour de New-York, je suis confronté à la réalité. Dehors, la température est de moins 17
Lorsque Montréal a vécu sa première grosse tempête de neige, nous étions à New-York. À notre retour, la réalité est brutale. Congères, chute de température (de moins 17 à moins 23), soleil par intermittences, nuages, etc. etc. J’aime mon pays. Mon pays c’est l’hiver, chantait Vigneault. Et Claude Léveillée fredonnait pour sa part :
« Mon pays c’est grand à se taire
C’est froid, c’est seul
C’est long à finir, à mourir
Entendez-vous les vents, les pluies, les neiges et les forêts? ».
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
Comment traduire en image le froid? Par son point de congélation, peut-être
Le froid pénètre les grandes et les petites choses
Un peu de neige... des glaçons... un sapin
Il y aura toujours un brave pour défier la froidure
... ou deux braves, qui sait?
Jusqu'où peut aller la bravoure ou la témérité?
Que dire de ces obligations incontournables?
Il est des signes qui ne trompent pas
Une Sibérie s'est installée sur Montréal
Ce qui a rendu bien triste mon jeune ami, frigorifié, entre deux cacahuètes