Passants, je vous invite à vous arrêter un instant. L'instant d'une réflexion
(N’oubliez pas de cliquer sur les images pour les agrandir)
Vous passez sans voir. Vous vivez sans espoir
Vous préférez ignorer ce qui peut encore vous surprendre
Comme celle-ci qui bâtit son nid
Comme celui-ci qui est si petit que sa faim devient invisible
... comme celle-là que personne ne remarque parce que trop laide
Votre pas pressé vous détourne de la beauté
Vous recherchez l'artifice alors que la nature est près de vous
Que vaut la beauté d'un envol lorsque votre paupière est si lourde...
J'ai poussé des cris, beaucoup de cris. Parce que je voulais m'entendre et que les sons ne me revenaient pas. Mes appels ne voulaient rien dire pour mes parents. C'étaient, disaient-ils, des cris d'oiseaux de mer. Alors, ils m'ont surnommée la mouette (Emmanuelle Laborit, le cri de la mouette, Robert Laffont)
Et il y a eu ce vieux-là. Il a plié cette branche avec une rose. Il ne voulait pas que je passe sans la voir