L'oiseau aimait l'arbre. Il réalisa rapidement qu'il avait un voisin. Qui avait choisi le même arbre
L'écureuil trouvait également cet arbre très beau
L'oiseau et l'écureuil avaient choisi cet arbre pour ses fleurs
L'oiseau chantait. L'écureuil ne disait mot
Pourquoi interrompre un si beau chant, s'interroge l'écureuil
L'écureuil se rappelait ces mots de La Fontaine : Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois
L'oiseau n'était Maître Corbeau et ne se laissa pas tromper par de si beaux mots
L'oiseau n'interrompit point pour autant son air de printemps
Tant était ravissante la nature, tant était beau le chant de l'oiseau
Il est vrai que l'écureuil était bon compagnon pour l'oiseau chanteur
L'œil vif de l'écureuil ne voulait rien perdre de cet instant magique
Il y eut même un éclair de tendresse et de mélancolie dans cet œil aux aguets
Et l'oiseau en guise de gratitude poursuivit son concert vocal perché sur un arbre fleuri
Les beautés de Montréal 
J’aurais bien aimé être témoin de ce petit moment. Ils sont tellement mignons!
Tes photos sont tout simplement… WOW! J’adore!
L’idée, les images, le texte: ravissant! Grand eerci !!
Moi aussi, WOW! J’adore!
Merci pour ce charmant premier mai.
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Vous avez l’art et la manière de nous conter cette jolie histoire !
Pierre
C’est un merveilleux conte. Je suis aux anges tant par vos photos bucoliques que par vos mots. C’est une bien jolie histoire.
Ce superbe oiseau aux petites plumes de feu sur le côté a trouvé un bon public et l’écureuil n’en perd pas une note 😉
Ce sont des moments où le temps s’arrête… C’est du rêve!
Merci Pierre de nous transmettre votre amour pour la nature.
Vos photos ont le parfum du printemps. Je ne vais pas les oublier de si tôt.
Bon travail de recherche, de patience et de « ruse »… J’adore.