15 commentaires sur “Tout est si urbain

  1. Bonjour Denise

    Ce serait un grand plaisir et un bon moment assuré de partager avec vous une marche d’un escalier. Cela me touche que vous ayez pensé à moi, j’apprécie sincèrement cette délicatesse.

    Toutes mes amitiés

    Frisson 😉

  2. Pierre

    Après une escapade, c’est toujours du bonheur de retrouver son chez soi, ses habitudes, ses promenades, sentir les parfums des parcs avec dans le coeur pleins de souvenirs d’un magnifique voyage…

    Merci Pierre de partager la quiétude urbaine de votre ville si chère à votre coeur! Vos photos apportent du rêve 😉 Un vrai plaisir.

    • Denise

      Le retour à domicile est une expérience enivrante après un long voyage. Chaque retour est accompagné d’une fatigue mais d’une certaine plénitude également. Lorsqu’un voyage est enrichissant, il nous laisse de nombreuses heures pour revoir en images et en rêves des coins de paysages qui nous ont marqués. Et j’aime alors me promener dans ma ville et retrouver, comme vous le dites si bien, les parfums et les odeurs qui lui sont propres.

      Pierre R.

  3. Bonjour Frisson

    Merci pour votre gentil mot et je suis heureuse que vous acceptiez ce petit partage, c’est trois fois rien 😉 Je suis également très contente de vous relire.

    En admirant la photo de Pierre, je me disais… comme nous serions bien là, au bord du fleuve!

    Avec toute mon amitié

    Denise

  4. Bonjour Pierre,

    « Tout est si urbain »
    Un citadin comme moi, ne pourrait dire le contraire.
    Le rat des villes ne sera jamais comme le rat des champs.
    Je reprends la fable de La Fontaine, vous verrez comme il est actuel.

    Autrefois le Rat de ville
    Invita le Rat des champs,
    D’une façon fort civile,
    A des reliefs d’ortolans.

    Sur un tapis de Turquie
    Le couvert se trouva mis :
    Je laisse à penser la vie
    Que firent ces deux amis.

    Le régal fut fort honnête,
    Rien ne manquait au festin ;
    Mais quelqu’un troubla la fête,
    Pendant qu’ils étaient en train.

    A la porte de la salle
    Ils entendirent du bruit ;
    Le Rat de ville détale,
    Son camarade le suit.

    Le bruit cesse, on se retire :
    Rats en campagne aussitôt ;
    Et le Citadin de dire :
    Achevons tout notre rôt.

    C’est assez, dit le Rustique ;
    Demain vous viendrez chez moi.
    Ce n’est pas que je me pique
    De tous vos festins de roi ;

    Mais rien ne vient m’interrompre ;
    Je mange tout à loisir.
    Adieu donc ; fi du plaisir
    Que la crainte peut corrompre !

    • L’enfoiré

      Belle allégorie :

      fi du plaisir
      Que la crainte peut corrompre.

      Fort heureusement qu’il existe en certaines villes des lieux similaires aux campagnes qui nous permettent de retrouver la quiétude d’esprit et la qualité de vie rurale de nos ancêtres. 😉

      Pierre R.

  5. On ne pense pas à un tourbillon en voyant votre œuvre photographique (qui douterait, après ces dizaines de milliers de clichés, que c’est une œuvre ?) : vous êtes pour moi le photographe de la vie apaisée. Pas forcément tranquille, ou lisse, mais apaisée. Je suis sûr d’ailleurs que les commentateurs habituels de votre blog m’approuveront ^^

    • Bonjour RV

      Bon. Je vais méditer ce beau compliment. Et Baudelaire disait : Le jour tombe. Un grand apaisement se fait dans les pauvres esprits fatigués du labeur de la journée; et leurs pensées prennent maintenant les couleurs tendres et indécises du crépuscule 😉

      Pierre R.

  6. Et en plus, vous êtes un incorrigible romantique ! 🙂 A moins que vous ne soyez symboliste, ou parnassien ? Oh la la, la littérature ! 🙂

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