Je vous présente ma nièce. Stef avec un f. Une gentille personne qui aime bien son oncle puisqu’elle a su lui proposer une activité singulière qui l’a aussitôt intéressé. Cette activité est typique des pays de neige. Il s’agit en effet de courses d’attelages de chiens qui tirent un traineau sur un circuit de glace… ou de neige. L’activité se déroulait pas très loin de Montréal. À l’Épiphanie, plus exactement. Imaginez le défi. Photographier une course d’attelages de chiens pour tenter de vous rendre intéressant tout l’esprit qui découlait de cette activité familiale. Pour réussir cette entreprise, Stef avec un f s’est jointe à moi pour prendre des photos. J’avais mon adjointe déléguée à l’organisation et à la capture des images. Quel privilège. Voici donc les résultats de cette excursion familiale qui a bien marqué le week-end de mon anniversaire. Et comment vous dire encore une fois merci pour tous ces beaux mots que vous m’avez adressés. Allez, je retourne à la modestie de mes photos et je fais une grosse bise à Stef pour son soutien indispensable 😉
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
Située aux abords de la rivière L’Achigan, L’Épiphanie trouve place dans un vaste domaine agricole croisant les paroisses de L’Épiphanie et de L’Assomption. Sa situation géographique offre l’accès aux lacs et aux montagnes du Bouclier canadien, qui tire ses origines à proximité. Fondée en 1853, l’Épiphanie a connu plusieurs transformations avant de devenir la ville d’aujourd’hui. Il faut toutefois remonter à ses origines pour bien saisir la richesse de son histoire. Du temps où cette partie de terre s’appelait L’Achigan. C’est en 1732 que les Sulpiciens donnèrent naissance à L’Achigan. Propriétaires d’une vaste étendue de terrains situés du côté nord du St-Laurent, ils favorisèrent la colonisation en concédant des terres de leur immense seigneurie. L’avènement des chemins de fer au Canada à la fin du 19e siècle va largement contribuer au développement agricole et industriel de L’Épiphanie. L’Épiphanie est l’un des seuls endroits au Québec où se croisent deux lignes de chemins de fer. Selon une coutume, à tous les dimanches soirs, la population se rendait à l’une des deux gares pour y saluer l’arrivée des passagers.
Il est vrai, comme l’indique elle-même l’Épiphanie, que les 800 000 pieds carrés d’espaces verts et l’absence de pollution industrielle font de la Ville de L’Épiphanie un site privilégié. La quiétude des quartiers résidentiels et ses commodités à proximité telles le noyau villageois, les parcs aménagés, les kiosques postaux y ajoutent un cachet particulier et recherché. Il n’est pas étonnant que son environnement de qualité incite de plus en plus de personnes à s’y installer.