Toute ville a ses rues. Des grands boulevards aux ruelles, ces canaux de circulation sont irrigués des flux des voitures et… des humains. Je pourrais me plaindre en tant que piétons d’être trop souvent l’objet d’indifférence et d’impolitesse de la part des automobilistes. Ces derniers pourraient en retour se plaindre de l’insouciance des piétons dans les zones d’affluence et de pointe. Les deux entretiennent une relation amour-haine. Pour bien juger une ville, il faut fréquenter ses rues. Les grandes et les petites. Les rues larges ou étroites. Les rues des quartiers riches, commerciaux ou des arrondissements plus pauvres. J’aime les rues. J’aime les grands boulevards. J’aime découvrir ces rues étroites et bien mystérieuses. Et j’aime voir poindre le soleil dans ces voies de circulation qui diffusent autant qu’elles restreignent la lumière. Les rues de Montréal battent au rythme des heures du jour ou de la nuit. Petit portrait des rues de Montréal par temps ensoleillé.
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)