En juin dernier, je présentais aux lecteurs l’arrondissement Outremont. C’est un quartier huppé. Autant l’architecture que l’aménagement urbain rendent très agréables la fréquentation et l’habitat dans cet arrondissement. Deux rues ont profondément marqué la vie de Montréal et des municipalités voisines : Bernard et Laurier. Haut lieu de la gastronomie, des boutiques branchées et de la vie culturelle, ces rues sont fréquentées par un jet-set local et étranger. Samedi, donc, il faisait beau. Contrairement à dimanche, plutôt exécrable. Je décide donc de me rendre, dans ma promenade quotidienne, jusqu’aux rues Bernard et Laurier. Voici un bref compte-rendu de cette magnifique journée.
Tout n’est pas, cependant, rose dans l’arrondissement Outremont. Les relations entre la communauté francophone et la communauté juive hassidique sont particulièrement houleuses. Pour en connaître un peu plus sur ces relations, je vous invite à lire cet article de Pierre Szalowski, chroniqueur à l’Express d’Outremont, et ce blogue de la conseillère municipale de l’arrondissement d’Outremont, Céline Forget.
Le Centre de recherche Lionel-Groulx, organisme sans but lucratif constitué par lettres patentes le 11 août 1976, a pour objet de « promouvoir l’étude et la recherche sur l’histoire du Canada français, de l’Amérique française et du Québec en particulier ». Cette mission émane directement de celle de la Fondation qui lui a donné naissance, le Centre étant en quelque sorte l’un des moyens que s’est donnés celle-ci pour réaliser ses objectifs. Fondée en 1956 par Groulx lui-même et quelques mécènes dans le but d’assurer la survie financière et la pérennité de l’Institut d’histoire de l’Amérique française (IHAF) et de la Revue d’histoire de l’Amérique française (RHAF), également créés par Lionel Groulx en 1946 et 1947 respectivement, la Fondation a en effet pour but de « favoriser l’étude de l’histoire du Canada français et de tout le fait français en Amérique », ainsi que de « promouvoir l’avancement et la diffusion de la science de l’histoire ».
Est bien pris qui croyait prendre. Si si. Vous pouvez apercevoir, dans la vitrine, le reflet de ma silhouette. Après Alfred, il y a Pierre R. 😉 Coquetterie cinématographique.