Après avoir visité le pays de Félix Leclerc, nous partons sur la route des Grands oies des neiges
Dimanche matin. Après le petit déjeuner de 08h00, nous quittons Sainte-Anne-de-Beaupré pour Cap Tourmente. Nous nous rendons dans ce beau coin de pays du cap Tourmente pour rencontrer la Grande oie des neiges. En cours de route, nous apercevons les premiers essains qui semblent se diriger droit vers les berges de la la Réserve nationale de faune (RNF) du cap Tourmente.
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
Il nous semble voir sur notre route un premier essaim d'oies des neiges en formation de vol
Photo Sébastien Savard (Wikipedia)
Comme nous l’indique Wikipedia, l’Oie des neiges (Anser caerulescens) est une espèce d’oie qui habite surtout au Canada arctique et passe l’hiver sur les côtes américaines atlantique et pacifique. On la retrouve parfois en Europe. Des centaines de milliers de grandes oies des neiges font escale deux fois l’an le long du Saint-Laurent. Selon le gouvernement du Québec : « C’est au cours du mois d’octobre que les oies des neiges viennent prendre des forces le long de l’estuaire du Saint-Laurent avant de poursuivre leur voyage qui les mènera du Grand Nord vers leurs quartiers d’hiver sur la côte Atlantique. Elles se nourrissent sur les rives boueuses du fleuve pendant environ trois semaines. Les concentrations les plus impressionnantes s’observent généralement à la mi-octobre à Cap-Tourmente, à 60 km de Québec. Cette réserve nationale de faune abrite des marais à scirpe, plante qui constitue l’aliment favori de l’oie. Le réseau de sentiers d’une vingtaine de kilomètres est ponctué de nombreux postes d’observation dont un belvédère aménagé en haut d’une falaise de 150 m ».
À notre arrivée au cap Tourmente, force est de constater la beauté du paysage
Que ce soit en forêt ou le long des berges, tout n'est que luxe et végétation
Nous prenons la route de l'observatoire, en retrait des berges
À l'observatoire nous sommes séparés par un «mur» afin de ne pas troubler la quiétude de nos amis bipèdes
Tout est prêt pour vendre (si, si) ou louer des jumelles aux observateurs démunis
Notre jeune guide n'a pas ce souci... papa a veillé au grain
Une première impression étrange nous envahit : le bruit du cacardement des milliers d'oies de neige
Première inquiétude : les Grandes oies des neiges seront-elles au rendez-vous
En dirigeant nos objectifs à l'Est de la berge, nous apercevons une nuée d'oies qui s'élèvent vers le ciel dans un bruit impressionnant
Très vives sont nos émotions à la vue de ce spectacle éblouissant
Difficile d'imaginer ces milliers d'oies s'élever ainsi à l'unisson dans un ciel si bleu
Nous poursuivons notre excursion en explorant la forêt du cap
Nous remettons d'un commun accord à plus tard le projet de gravir la montagne jusqu'à cet observatoire 😉
Les beautés de Montréal 
Très belles photos! Très impressionnant autant d’oies des neiges. Sûrement une belle expérience pour toi!
Il ne manque que la musique de leur vol… mais avec un peu d’imagination et de si belles photos, je crois l’entendre…
Frisson
Une expérience unique! Vraiment.
Lali
Il faudrait effectivement enregistrer le son d’un tel envol… impressionnant.
Pierre R.
Pierre,
J’aime. Apparemment, à part la photo de Wiki, on n’en voit pas de très près de ces belles oies.
Comme vous dites « Notre jeune guide n’a pas ce souci… papa a veillé au grain ».
Bien équipé ce jeune guide.
Tiens, cela me redonne envie de revoir le film de Jacques Perrin « Le peuple migrateur ».
L’enfoiré,
OUI! bonne idée, ca fait un bail que j’ai vu ce film, en fait je crois que je ne l’ai pas revisionné depuis que j’ai un 42 pouces, ca vaudrait le coup. J’avais adoré ce film.
Pour voir les oies de plus proches, c’est mieux le printemps. Et a ce moment on peut aussi voir les bébés prêts a prendre leur envols eux aussi. Cette année il y avait aussi problème de quantité, car il y avait peu d’oies. Peut-être un mauvais timing de la part des observateurs. Avec le dérèglement du climat, les choses changent. Quand elles sont très nombreuses, les oies débordent jusque dans les champs des cultivateurs aux alentours. Alors, on les voit de très proche.
L’enfoiré
En effet, comme le mentionne Marc, au moment où nous étions sur place, l’Oie des neiges n’avait pas atteint en nombre le quota habituel. Je vous suggère de jeter un oeil sur ce site pour voir une vidéo de l’oie des neiges. Je vous recommande également cet autre site pour voir une vidéo significative sur l’Oie des neiges.
Pierre R.
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Moi je dis : y’a maldonne sur la marchandise, le Pierre il avait dit des oies des neiges, et y’a pas de neige. Mais qu’est-ce que c’est que ce travail j’vous d’mande un peu hein ! Si y’a pu d’neige au Québec, autant aller faire un reportage en France sans Jean Sarkozy !
Hein, vous dites ?
Oh, pardon…
😀
Rv,
Bien dit. On a été berné sur la marchandise. Le Québec n’est plus ce qu’il était. On fait des déplacements pendant des kilomètres. Puis, rien…
Oui, y ont de la pluie en été, mais en automne, je me suis fait dire que la neige apparait. Mensonges…
Normal que les oies sont désorientées et qu’elles ne sont pas décidées à passer par là. Faudra bientôt mettre la clim a fond pour qu’elles viennent.
Ah, ce réchauffement climatique, quelle tuile…
Alors, on passe au vote, zap ou pas zap. 😉
rv,
Jean Sarkozy?
Non, pitié, avec un Nicolas, on en a bien assez.
Ou alors gavé comme les oies de chez nous.
Alors, là, je suis d’accord, du foie gras, je vous dit.
L’enfoiré
RV
Un peu de discipline dans la classe, voyons. Non mais…
Pierre R.