S'aventurer en forêt urbaine, c'est s'isoler davantage du monde
Avant que ne vienne l’hiver nous hanter, je quitte tôt la maison pour m’aventurer en forêt urbaine. Le Mont-Royal est parmi les belles forêts du Québec. À flanc de montagne, cette forêt se laisse découvrir à travers ses sentiers pédestres. Loin des cris et des fureurs de la ville, la forêt nous isole et nous enveloppe d’un aura de paix et de sérénité. Comment traduire ces sentiments à travers de si modestes photographies? Je fais confiance à votre propre imagination.
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
À flanc de montagne, une « architecture végétale » qui n'a de cesse de ne nous éblouir
Un écran devant ma ville pour masquer temporairement les légendes urbaines
Un escalier qui nous éloigne ou qui nous rapproche de la ville...
Mon excursion débute, leur promenade se termine. Croisement furtif dans un escalier
La fragilité se voit à l'œil nu
Un aller et un retour. Une brève rencontre. Un dénominateur commun
Un autre capteur d'images. Un chercheur d'émotions
La plus seule d'entre toutes ses sœurs qui ne finit plus de partir...
Le dialogue avec la nature reste pour l'artiste une condition sine qua non. L'artiste est homme; il est lui-même nature, morceau de la nature dans l'aire de la nature (Paul Klee)
Un éblouissement inattendu
Premiers signes d'un retour à la ville
L'ange est toujours là. Il veille