Qui ne sait pas peupler sa solitude, ne sait pas non plus être seul dans une foule affairée (Baudelaire)
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
La solitude de la poésie et du rêve nous enlève à notre désolante solitude (Albert Béguin)
On ne va jamais jusqu'au fond de sa solitude (Georges Bernanos)
Plus on approche de Dieu, plus on est seul. C'est l'infini de la solitude (Léon Bloy)
Deux biens sont pour nous aussi précieux que l'eau ou la lumière pour les arbres: la solitude et les échanges (Christian Bobin)
Ce goût de l'homme sans quoi le monde ne sera jamais qu'une immense solitude (Albert Camus)
Si la solitude existe, ce que j'ignore, on aurait bien le droit, à l'occasion, d'en rêver comme d'un paradis (Albert Camus)
Magnifique série. J’ai toujours trouvé les bancs chargés de symboles, poésie, nostalgie, pause, attente et amoureux de Brassens bien sûr. Je vois que pour vous, c’est l’image de la solitude qui domine, mais une solitude créatrice puisqu’on peut en rêver « comme d’un paradis »…
🙂
Pierre, la dame cjeanney qui commente précédemment a tout dit (by the way, is she pretty ? Is she free ? Do you want to mary me in five minutes ?…).
Je rajoute que vous devriez lire Georges Le Banc, de Claude Ponti. C’est certes un album pour enfants, mais de quel niveau ! Nous l’avons à la maison… c’est quand votre anniversaire ?.. 🙂
Cjeanney
Belle visite. Bonjour. Nous partageons le même avis sur les bancs. Lorsqu’ils sont désertés, ils symbolisent une certaine solitude. Mais en eux-mêmes, ils inspirent la créativité. J’ai tenté de recréer par ces photos cette impression.
RV
Coquin va. Je vous assure que cette dame est charmante et, ma foi, très jolie. En ce qui concerne votre petite proposition, la lecture de Georges Le Banc, je vous informerai bientôt de la date de mon anniversaire 😉
Pierre R.
Pierre,
Je me dis, non, il ne va pas le faire…
Sur la dernière photo, oserait-il?
Ouf, il ne l’a pas fait. Pas de Pierre sur le dernier banc.
La nostalgie n’est ni devant, ni derrière l’objectif. Sauvé.
Beaucoup de chanteurs l’ont chanté dans des moments creux, Ferré, Barbara…
Gilbert Becaud qui disait que la « Solitude, cela n’existe pas ».
Mais c’est « Ma solitude » de Regiani que je préfère.
Il y a des moments où elle est oppressante cette solitude, d’autres où elle est absolument nécessaire.
Un banc esseulé, je partage souvent sa solitude. A deux, on n’est déjà plus seul. Alors, il m’inspire et me parle à l’oreille.
Une si belle série de bancs ne peut être que le regard d’un coeur tendre.
Armando
tres belle serie !
Je sens toujours que je me ressemble aux bancs qui se trouvent dans les milieux publiques et les espaces verts. Les gens viennent pour se reposer, pour manger et pour s’aimer et ils partent pour les laisser seuls. Et dans la plus part des cas, ils ne souviennent pas même de leur passage par un tel banc.