Dans un parc, l'apprentissage de la solitude est un don de soi
Lorsqu’il n’y a pas ces cris d’enfants qui égaient les heures qui défilent toujours trop rapidement, lorsqu’il n’y a pas ces adolescents bruyants qui se lancent des ballons, lorsqu’il n’y a pas cette foule qui s’approprie les lieux pour étaler au sol des pique-niques fastueux, il peut alors y avoir une vraie solitude. Tant recherchée par le promeneur philosophe, le sportif qui pratique en solo sa discipline, le coureur, le lecteur et le flâneur. Et vous, recherchez-vous le silence, si contradictoire de la vie urbaine, dans le parc de votre quartier ou de votre ville? Bruxelles, Genève, Paris, Montréal, Québec, New-York… il y a à travers le monde un parc qui attend. Son flot de visiteurs ou un visiteur en particulier. Ce samedi, j’étais ce visiteur en particulier.
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
Rouler en duo...
... réparer son vélo en solo...
... le moment arrive où le silence s'impose
Nous nous retrouvons face à la nature
Une nature qui se laisse découvrir bien volontiers
Parfois une présence se distingue plus singulièrement qu'en d'autres circonstances
Les duos ne sont pas toujours ce que l'on imagine
Il y a ces conversations improvisées
Et ces dialogues intimes
Il y a aussi la joie retrouvée
Et le retour à la solitude que nous suggère un vieil arbre dégarni
À tous ces amoureux des mots, je dis : j'aime la solitude du parc
Les beautés de Montréal 