9 commentaires sur “Une sortie en forêt, une entrée en automne

  1. Pierre,

    Exact. J’adore me retrouver seul au milieu des arbres.
    Personne à gauche, personne à droite. Le silence à part un peu de bruissement des feuilles.
    Me perdre parfois.
    La solitude est assurée quand il pleut.
    Vous voyez maintenant une des raisons que j’aime parfois la pluie.

  2. Bonjour Pierre,

    Il n’y a rien de plus beau que les promenades automnales en forêt. Tout y est si calme et c’est délicieux pour se ressourcer tout en écoutant les chants des oiseaux.
    Parfois, il n’est pas nécessaire d’aller très loin de la ville pour découvrir un autre monde loin de l’agitation des rues.

    Marcher dans les sous-bois et voir un rayon de soleil se déposer sur les feuilles mordorées, ce n’est que du bonheur.

    Vos photos sont splendides.

  3. L’enfoiré

    Nous partageons ces mêmes petits plaisirs que la vie nous envoie à un âge où nous en avons grand besoin 😉

    Denise

    voir un rayon de soleil se déposer sur les feuilles mordorées … comme vous avez raison. Un instant de pur bonheur.

    Hespérie

    Je vous remercie. Ce fut agréable de vous compter parmi nos distinguées invitées 😉

    Pierre R.

  4. Que de bons souvenirs de mes promenades dans le plateau du Mont-Royal. On dirait qu’une fois qu’on a connu Montréal, il vous manque pour toujours. Dans ma belle toile de ce dimanche me mets des liens vers quelques photos que j’ai fait de Montréal.
    Bonne continuation.

  5. J’ai pris bien du plaisir Pierre, à découvrir la beauté automnale du Mont royal avec vos superbes photos!
    La forêt est un lieu inestimable pour s’y ressourcer, je l’affectionne particulièrement d’autant que je bénéficie de la proximité de celle-ci , en la forêt de Fontainebleau qui commence tout juste à se parer de couleurs automnales !

    « Je m’en allais dans les bois parce que je voulais vivre sans hâte.
    Je voulais vivre intensément et sucer toute la moelle de la vie !
    Mettre en déroute tout ce qui n’était pas la vie.
    Pour ne pas découvrir, à l’heure de ma mort, que je n’avais pas vécu ! « (Henry David Thoreau)

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