Il y a le labeur de la nature pour passer en douceur d'une saison à l'autre
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
Il y a le labeur des travailleurs de la rue pour réparer les outrages d'une saison à l'autre
Pourquoi souligner un geste tant ignoré des passants... passants qui passez sans me voir...
Les outrages de la rue indisposent... les travailleurs de la rue en disposent
Bitume ou asphalte, la rue ne cesse de se paver car elle supporte le poids de l'homme
Goudron : Matière visqueuse à demi fluide, d'une odeur forte et pénétrante et d'une saveur amère
Le travailleur de bitume met à rude épreuve la patience de l'homme
Baisser les yeux vers le bitume ou lever les yeux vers la beauté... c'est la vie
Comme d’habitude, trop de travailleurs pour rien. Par contre, un balais ne tient pas debout tout seul…
La dernière photo me fait un peu penser à Boston Common, mais cela va vous irriter mon cher ami ! 🙂
Pierre,
Encore une fois, merci. Merci de penser à ceux qui travaillent dans la rue.
Heureusement que le photos ne sont pas encore odorantes.
Le matin, il faut aussi penser aux éboueurs qui soulèvent des tonnes de déchets et de détritus, tous les jours.
On avait aujourd’hui notre récent ministre des Pensions à la radio.
http://www.rtbf.be/info/matin-premiere/michel-daerden-sera-linvite-de-matin-premiere-154378
Il parlait des problèmes de ceux qui ne sont pas derrière un bureau et qu’il fallait donc distinguer en fin de course.
J’ai eu déjà l’occasion de parler de ce ministre au cours d’autres étapes de sa vie. Car il faut dire que c’est une nature…
http://vanrinsg.hautetfort.com/archive/2006/10/23/notre-gainsbarde-a-nous.html
Frisson
C’est la règle : deux qui travaillent contre trois observateurs.
RV
Je vous rassure. Votre remarque est fort pertinente 😉
L’enfoiré
C’est inquiétant d’entendre le ministre dire : la Conférence nationale sur les pensions a pour objet de définir de nouvelles règles et de faire en sorte que les pensions puissent être payées. 😉
Pierre R.
Pierre,
Inquiétant, c’est le mot. La crise a eu le malheur de postposer les problèmes d’urgence d’épargne pour les pensions.
Mon ancien collègue, « émigré » temporaire chez vous, a été à l’école avec ce ministre. Il le connaissait donc très bien.
Comme je viens de lui écrire, il pourrait confirmer.
Il devait lui reconnaitre qu’il jonglait avec les chiffres bien mieux qu’avec les mots. Le mot « milliard » n’a aucun secret pour lui. Espérons qu’il sache encore ce que veut dire « mille » euros.
Un nid de poule réparé pour 100 négligés…
C’est ça aussi la vie à Montréal!
L’enfoiré
C’est le moins qu’un ministre puisse connaître le sens des mots, surtout lorsqu’ils définissent des sommes d’argent et que ces sommes se traduisent en versements de pension. Oh lala!
Lali
En effet. La loi de la moyenne est assez près de la réalité.
Pierre R.
Si les travaux urbains à Montréal peuvent être dérangeants pour tous, venez faire un tour à Bruxelles…
Tout à fait raison Du Bleu.
Nous sommes en perpétuel travaux.
Si on devait chiffrer l’overhead des transports dans les files, on pourrait construire quelques boules de plus à l’atomium, si pas une nouvelle Tour Eifel.
Pierre,
J’ai toujours une pensée pour ces ouvriers travaillant très souvent dans des conditions très pénibles…les odeurs, la chaleur, le froid.
Chez nous aussi, à Genève, nous vivons en permanence dans les travaux, des trous partout, des rues barrées et certains automobilistes sont d’une impatience lorsqu’il faut s’arrêter deux à trois minutes pour laisser les machines se mettre en place. C’est tout de même grâce à ces hommes que nous avons ensuite de belles rues.
Bonne soirée.
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Du Bleu
L’enfoiré
Denise
Ben là, je suis surpris. Je croyais impossible qu’une ville autre que Montréal puisse donner une image d’un chantier en perpétuelle évolution. Barrages routiers, signalisation, contournement, et quoi encore. Merci de ce bel encouragement 😉
Pierre R.