Le Québec en entier vit, ce week-end, sous l’emprise, qui n’est pas désagréable, de la culture. En bref, tout bat au rytyhme de la vie culturelle. Depuis maintenant 13 ans, les Journées de la culture se déploient à la grandeur du Québec pour faire valoir l’importance de l’accès aux arts et à la culture pour tous. Au menu, plus de 2 200 activités donneront aux québécois la possibilité de se familiariser, un week-end durant, avec les processus de création et des savoir-faire culturels. Vendredi matin. Rien de mieux que de constater ce qui se passe dans son propre arrondissement, celui de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Le Café Graffiti est un excellent point de départ. Et Raymond Viger, le directeur, veille au grain. Une classe vient se familiariser avec une forme peu conventionnelle de la culture : les œuvres sur toiles et le breakdance. Si. Si.
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Telle que décrite sur son site, la mission du Café Graffiti a pour but d’offrir un milieu de vie pour les jeunes. Ils peuvent s’y réunir pour discuter, y trouver une oreille attentive pour répondre à leurs besoins. De plus, le Café Graffiti veille à faire reconnaître professionnellement les jeunes artistes tout en les aidant à combattre leur exclusion. Le Café Graffiti est une famille reconstituée qui accueille les jeunes cherchant à se bâtir une identité qui correspond à leurs talents et leurs ambitions. Et le Café Graffiti était au rendez-vous des Journées de la Culture.