(Vous ai-je déjà invité à cliquer sur les images pour les agrandir? Je crois bien. Alors, pourquoi vous gêner?)
Au hasard de ma promenade, rien ne me prédisposait à m’intéresser de plus près à cette mouette juchée sur la surface cylindrique d’une clôture. Mais sa posture physique m’intriguait, jusqu’à ce que je réalise que l’oiseau était privé de l’utilisation de son autre patte. Plutôt gênant. Mais l’oiseau, nonobstant ce handicap que personne n’a remarqué, a gardé sa dignité et sa fierté. Une simple leçon de vie.
C’est bien Pierre que quelqu’un d’autre qu’un prédateur ait pu approcher ce bel oiseau. Quand j’étais enfant mon père nous racontait une histoire de mouette blessée et recueillie, soignée, et rendue à sa liberté. « Papa tu nous racontes la mouette ? » revenait souvent.
Pierre, Que dire? Peut-être, une vision antropomorphique. Sans non congratuler, c’est le genre humain qui est passé à la correction de la nature et à inventer les hopitaux pour ses semblables et parfois pour ses inférieurs.
Se rappeler malgré tout les marées noires et les dégâts chez tous nos amis, les oiseaux.
joli comme toujours, Pierre. mais finalement il n’était pas unijambiste, si?
sur vs questions, je ne saurai pas vous répondre, je ne comprends rien à ces questions techniques.
lá, c’est bon, je vois les photos. pour les feeds, je pense qu’en français on dit flux (je ne suis même pas sure).
amitiés.
I always pay special attention to those with a handicap. Sparrows and finches have come with a lame leg and I often wonder what happened. Like you I admire there agility to balance themselves. How long would we do with one good leg to stand on? Great picture Pierre.
RV
Voilà un commentaire fort intéressant. Bravo à ce brave père de famille qui s’intéresse ainsi à la vie des bipèdes. Trop souvent hélas! on ne les voit que comme des nuisances.
L’enfoiré
En effet. L’humain a pu soigner ses semblables mais qu’en est-il, comme vous l’indiquez si bien, des dégâts auprès d’autres espèces, dont celles en voie de disparation? Vous citez avec pertinence les marées noires.
Popelina
Je crois en effet qu’il devait réellement se mouvoir avec une seule patte.
Catherine
Merci. En effet, comment pourrions-nous rester ainsi à marcher et à nous déplacer avec une seule jambe sans rien pour nous supporter dans notre démarche?
Pierre R.