Au hasard de mes quêtes sur ma ville, Montréal, je réalise à quel point je découvre ce que je n’aurais à peu près jamais soupçonné. Le réalisme qui côtoie l’insolite. La réalité qui sonde le virtuel. Lorsque le photographe découvre chaque cliché, qu’il observe ce que chacun d’eux contient, c’est un nouveau monde qui s’ouvre à lui. Beau, laid, inélégant, bizarre, invraisemblable, pitoyable ou tout simplement merveilleux. Voici un grenier aux images disparates sur la géométrie variable de la vie. N’y voyez aucune suite logique. « La première lecture est au lecteur ce que l’improvisation est à l’orateur » (Émile Flaguet).
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