Vous rappelez-vous Les Quatre Barbus ? J’en garde un souvenir attendri. Surtout cette chanson qui parlait de pince à linge, de Francis Blanche, Pierre Dac et de Beethoven. Si si 😉
Prenez deux petits morceaux de bois
Que vous assemblez en croix
Avec un p’tit bout de fil de fer faites un ressort en travers
Vous saisissez cet instrument entre votre pouce et votre index
Vous le serrez en appuyant afin qu’il soit bien circonflexe
Enfin vous l’approchez du linge, du linge à faire sécher et vous lâchez.
C’est ainsi que Jérémie Victor Opdebec, Opdebec,
Dans un éclair de son génie à su doter
Les lavandières, les blanchisseuses du monde entier
D’un’ pinc’ à ling’, qui protègera la liberté à l’humanité
Pinc’ à ling’, pinc’ à linge, grâce à toi maintenant,
Nos chemisettes, nos chaussettes résistent au vent,
Et nos cal’çons dorénavant répondront présent.
Et l’ouragan peut tonner, l’orage se déchaîner
Nous, grâce à la pince à ling’ on est protégé, paré, sauvegardé,
On aura toujours de quoi espérer.
Dans mon quartier, voilà une tradition qui persiste, résiste, insiste. Pas un jour ne passe sans que tombe sous notre regard une corde à linge 😉