Le marché Jean-Talon est bel et bien situé dans le quartier italien de Montréal. Depuis 1933, c’est le rendez-vous incontournable des Montréalais et autres visiteurs dans la Petite Italie. Ce marché est nommé ainsi en l’honneur de Jean Talon, premier intendant (gouverneur) de la Nouvelle-France. Et selon la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal (CGMPM), il serait le plus important marché à aire ouverte en Amérique du Nord. « Le marché Jean Talon à Montréal est une institution autant pour les familles en balade le dimanche que pour les amateurs de fruits, légumes, fleurs, épices et aromates, viandes, poissons et fruits de mer, fromage et autres inventions du genre que la France aurait tôt fait de qualifier de produits du terroir », écrit Véronique, alias Petiboudange, qui a vécu en 2004-2005 à Montréal pour ses études. En 2004, l’Office national du Film présentait, sur les ondes de la Société Radio-Canada, un docu-feuilleton en six épisodes sur le marché Jean-Talon. Une curiosité digne d’intérêt.
Pierre,
S’appeler Jean-Talon pour un quartier italien?
C’est presque une blague. Cela m’a amusé énormément.
Si l’on pense à la forme de la botte de l’Italie, cela devient prémonitoire.
Mon article annoncé, hier, parle de la grande Italie. La vraie. La pure, la dure. La Berlusconienne.
Petiboutdange n’en serait pas déçue j’espère.
Le monde devient universel.
On trouve des bouts de l’un chez l’autre. N’est-ce pas une manière de faire connaissance avec son contemporain? 80% multi-ethnique, un preuve de plus.
Pierre,
Alors j’y suis! Rien de tel que le marché. Mes souvenirs du marché avec ma grand-maman maternel sont formidables! Merci pour le voyage.
Catherine
Quel retard à répondre. Mes excuses.
L’enfoiré
Je n’avais pas fait le lien (humoristique) entre le talon et la botte. Chapeau 😉
Catherine
Je fréquente peu le marché mais chaque fois que je m’y présente, c’est une aventure assez inoubliable.
Pierre R.
Mon dieu, ça fait bizzare de voir ses écrits repris par d’autres! Merci pour la référence 🙂
Ce fut un grand plaisir de vous citer. Et votre commentaire, daté de 2007, est toujours d’actualité. Je vous remercie
Pierre R. Chantelois