7 commentaires sur “Vision urbaine d’une rue ordinaire

  1. Pierre a écrit :
    . Pourquoi parle-t-on en art de natures mortes ?

    Il y a plusieurs définitions, mais la mienne est la plus simple : on dit nature morte car les éléments sont soustraits à la nature et amenés dans un studio pour les peindre ou les photographier. Évidemment, les plantes sont coupées, les fruits sont cueillis, les animaux sont morts sinon dépecés, etc. Je pense que c’était un moyen de montrer au spectateur des éléments qu’il ne verrait jamais normalement (le tourisme ou les promenades en nature sont des phénomènes récents) dans son milieu, ou des études de textures et de couleurs ; les natures mortes ne sont pas obligatoirement « exactes », loin s’en faut.

  2. …ou l’inépuisable (dé)multiplication des regards (au sens large : toucher, goût, oeil, odeurs, que sais-je). Moi aussi, ts les jours, je me livre à cet exercice : une sorte d’éblouissement permanent. Conclusion provisoire 🙂 : nous sommes vivants, totalement.

  3. Gilles

    Il est vrai que l’image bourgeonnement pourrait symboliser une généalogie. ;=)

    Je me doutais bien qu’il y avait une explication logique et simple pour expliquer ce qu’étaient les natures mortes en peinture. Merci.

    Popelina

    Je craignais un excès de sensiblerie de ma part. Vous me rassurez. Nous sommes vivants, totalement. 😉

    Pierre R.

  4. J’aime beaucoup ce genre de flânerie. C’est un procédé qui nous rappelle que le monde, pour peu qu’on sache le regarder, offre une infinité de découvertes, partout, tous les jours.

  5. Posuto

    Je ne pouvais faire autrement tant je les ai examinés… de près. 😉

    Sammy

    Comme vous avez raison. Une infinité de découvertes. Il me faudrait encore cent ans tant le temps presse de découvrir. 😉

    Pierre R.

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